« […] Au lieu de parler, tes projets : va les faire ! »

Aujourd’hui, rien de spécial à l’horizon, si ce n’est que j’ai un entretien lundi prochain pour dispenser des cours de français. Je suis content, car ceci est le début d’un nouveau projet. En fait, c’est même un sous-projet dans mon projet dont l’objectif sera d’être prêt l’année prochaine, en avril plus précisément.

Je vous partage également la musique d’un gars d’enfance avec lequel j’ai grandi étant plus jeune. Son son résume mon état d’esprit d’en ce moment. Comme il le dit lui-même :  » « […] Au lieu de parler, tes projets : va les faire ! » , « […] beaucoup de plans sur la comète… et de larmes de sang sur les pommettes ».

Et surtout, je m’en bats les couilles de mes croyances limitantes qui m’empêchaient d’avancer auparavant. En effet, je venais de terminer mes études en septembre. Je n’étais pas prêt de nouveau à bachoter dans la perspective de passer des concours. Mais, force de constater, que 8 mois après l’obtention de mon diplôme, je n’ai pas plus avancé que ça. C’est pourquoi, j’ai décidé d’aller chercher le bonheur là où il est. Non « pas que je m’en batte les couilles [réellement] de « [vos] problèmes », mais il y a des choses parmi lesquelles j’ai beaucoup donné auparavant et qui seront réduites à débit moindre désormais. Et cette musique les dit implicitement. J’ai trop donné. Enfin bref. J’ai décidé de me (re) concentrer entièrement sur moi. Car mon avenir en dépend. J’ai eu un gros déclic. Comme toujours. Tout est une affaire de déclic chez moi.